Charlotte Gaccio (Demain nous appartient) : “Ils comprennent que…”, elle évoque ses jumeaux de 6 ans
Mois de mars compliqué pour Audrey, son personnage dans Demain nous appartient (du lundi au vendredi à 19 h 10 sur TF1). Son fils, Jordan, se retrouve accusé de meurtre. Une épreuve pour son couple aussi.
La famille Roussel semble voguer en eaux calmes depuis l’intrigue de l’escape game. Va-t-on rester sur cette note ?
Charlotte Gaccio : Ah non, pas vraiment. Ça va secouer fort chez les Roussel ! Un homme est mort et on découvre que, la veille, Jordan et lui se sont violemment disputés. Comme Damien est flic, Audrey pense qu’il va faire ce qu’il faut pour disculper Jordan. Mais tout ne va pas se dérouler comme prévu.
Est-ce que cette enquête peut mettre en péril ce couple ?
Non, ils sont solides, ces deux-là. Et puis, ils sont encore jeunes mariés ! Il va tout de même y avoir des vagues. Damien va risquer de perdre son poste. Les doutes vont s’inviter dans les esprits, mais l’unité va être préservée parce que le socle de cette famille, c’est l’amour.
Maxime Lélue, l’interprète de Jordan, est au centre de cette intrigue. Comment l’avez-vous trouvé ?
Maxime a quelque chose d’unique, d’extrêmement émouvant dans son regard, dans son jeu. Il me touche toujours par sa justesse et son sens du rythme. Là, il m’a bouleversée. Préparez vos mouchoirs, ça va être votre tour.
Vos jumeaux de 6 ans, Zoé et Roméo, ont-ils conscience que vous êtes connue ?
Ils comprennent que je passe à la télé, mais ça ne les intéresse pas plus que ça. Il m’est arrivé de les emmener sur le plateau quand j’étais en galère de baby-sitter, mais eux, ils préfèrent s’asseoir dans ma loge et mater des dessins animés.
Vous a-t-on parfois fait ressentir le poids de la culpabilité parce que vous deviez travailler ?
La culpabilité est livrée avec les enfants ! Je n’ai pas besoin des autres pour la ressentir. Ils n’avaient pas deux heures que je pensais déjà que je faisais mal les choses.
Comment gérez-vous ça ?
En pleurant ! (Rires.) Honnêtement, parfois, c’est difficile. Mais je suis comme toutes les mamans, je fais ce que je peux. Et quand je dois m’absenter, je passe mon temps à me tordre le cerveau pour trouver le moyen de les voir le plus possible.