Demain nous appartient : Eloïse tente de t̫u̫e̫r̫ Adèle et de se donner la m̫o̫r̫t̫ / Camille i̫n̫c̫a̫r̫c̫é̫r̫é̫e̫ à Rennes
François annonce son prochain départ à l’étranger
François explique à Adam qu’avec Charlie, ils aimeraient s’installer à Montréal. Adam est d’accord pour laisser partir son père à condition qu’il puisse rester à Sète. François n’a plus qu’à annoncer cette nouvelle à Soizic !
Effectivement, Soizic n’accueille pas cette nouvelle avec joie. Elle assure à François que ce n’est pas parce qu’il déménage sur un autre continent qu’il va se débarasser d’elle et lui demande à quel moment, il va assurer ses sentiments pour elle. Cette réaction n’est pas une surprise pour le professeur qui lui répond qu’elle est fatigante.
Camille ne peut plus être en liberté conditionnelle
Le procès de Camille aura lieu à Rennes et cette dernière sera incarcérée dans cette ville jusqu’au procès. Raphaëlle doit maintenant annoncer cette mauvaise nouvelle à ses filles. Camille et Maud accusent le coup. Puis, Camille se dit que c’est mieux comme ça et qu’elle doit payer le fait que des gens ont failli mourir à cause d’elle ou ont été blessés.
Raphaëlle pense s’installer à Rennes pour aller voir sa fille tous les jours en prison, le temps que le procès arrive.
En attendant d’être transférée, Camille est en garde à vue au commissariat de Sète. Elle reçoit la visite de Dorian. Tous les deux s’excusent : Camille pour avoir péter les plombs et Dorian pour l’avoir fait souffrir à ce point. Il reconnaît sa part de responsabilité dans tout ce qui est arrivé.
Le moment du transfert est arrivé. Camille a peur de se retrouver toute seule. Sa mère lui promet qu’elle ira la voir d’ici quelques jours et tous les week-end.
Eloïse déjoue encore les policiers
Adèle désormais réveillé, demande à voir Barth. Eloïse apprend que sa soeur est réveillée. Ça se complique pour elle. Elle avoue à Barth ne pas être sûre de pardonner à sa soeur tout le mal qu’elle leur a fait. Pour Barth, il faut que sa compagne se change les idées et il lui conseille de ne pas aller voir sa jumelle tout de suite. Les policiers ont des questions à poser à cette dernière.
Au commissariat, Valère explique à Martin qu’il n’aurait jamais fait de mal à Adèle et que celle qui l’a dénoncé est Eloïse. Malgré les preuves que les policiers ont trouvé, il continue de maintenir son innocence et qu’il s’agit d’un coup monté. Martin ne le croit pas non plus quand il explique qu’Eloïse a pris la place d’Adèle. Il considère que Valère est dangereux, irrationnel, obsédé par Adèle et sous médicament. En plus, Valère a un mobile et pas d’alibi. Il continue de dire qu’il est resté chez lui toute la journée pour dormir puis propose à Martin de demander au fournisseur de forfaits internet à qui il a téléphoné ce jour là. Ça reste confus d’autant plus que Valère vient de confirmer qu’il avait coupé son téléphone. Martin ne le prend donc pas au sérieux. Valère se souvient qu’il a un fixe relié à sa box et reste convaincu qu’il a parlé à quelqu’un.
Roxane découvre que Valère a bien dit la vérité concernant son appel avec le fournisseur. Les policiers en déduisent qu’il ne pouvait pas se trouver chez Barth au moment où sa compagne a été agressée. Eloïse a bien pris la place de sa soeur, a mis le sédatif dans la perfusion de sa jumelle et essayé de tuer Victoire.
Quand Barth rentre chez lui, il trouve une lettre d’adieu. Sa compagne le quitte pour être loin de sa soeur. Les policiers arrivent à ce moment chez lui et apprennent ainsi qu’Eloïse est en fuite depuis quelques heures. Une opération est mise en route pour la retrouver.
Eloïse est à l’hôpital. Elle réussit à intriguer le policier en garde devant la chambre d’Adèle puis lui donne un coup de taser. Le policier s’effondre, laissant ainsi à la jumelle le champ libre pour aller dans la chambre d’Adèle.
Eloïse s’est injectée un produit dans le bras et explique à Adèle qu’elle ne veut pas qu’elles soient séparées tout en préparant une seringue d’un produit, un liquide bleu qu’elle fait passer par la perfusion. Adèle comprend que sa soeur a organisé leur mort.