“Elle ne veut pas que…”, cette réalisatrice qui a pris l’habitude de changer le script
Dans une interview accordée à Rapideactu.com, Charlotte Gaccio s’est confiée sur le tournage de la série Demain nous appartient. Elle a notamment révélé que l’une des réalisatrices prend quelques libertés avec le script.
Charlotte Gaccio est devenue l’une des actrices emblématiques dans la série Demain nous appartient. Elle occupe une place de choix grâce à son personnage d’Audrey Roussel. Un choix de carrière qui n’a pas surpris sa mère Michèle Bernier, comme elle l’a confié dans une interview accordée à Gala : “J’ai toujours senti en elle une fibre artistique. Elle a toujours aimé se déguiser, jouer la comédie, chanter, donc je ne suis pas étonnée”, a-t-elle affirmé. De son côté, Charlotte Gaccio prend beaucoup de plaisir à incarner son rôle dans le feuilleton de TF1. Le 26 février dernier, la comédienne a accordé une interview au magazine Rapideactu.com, dans laquelle elle est revenue sur la personnalité de son personnage mais aussi sur l’admiration qu’elle porte à certaines femmes comme sa célèbre maman ou encore Elodie Gossuin.
Elle est également admirative du travail de l’une des réalisatrices du programme qui n’hésite pas à changer quelques passages du script quand celui-ci ne lui convient pas. “Parmi les réalisatrices, je veux saluer Sandra Perrin. Dès qu’il est écrit qu’Audrey débarrasse ou range le linge, elle change le script pour qu’on la voit posée dans un canapé ou prendre du temps pour elle. Elle ne veut pas que ce personnage soit réduit aux tâches ménagères. Il n’y a que des femmes inspirantes sur DNA. Je suis très bien entourée”, a-t-elle révélé. Des choix qui forcent l’admiration de la comédienne qui est maman de deux enfants, Zoé et Roméo.
“Il ne faut rien lâcher”
Au cours de son entretien, Charlotte Gaccio a aussi révélé qu’elle était très sensible aux droits des femmes. Et certains progrès restent à faire “sur l’égalité et les violences faites aux femmes” selon elle : “Tant que les femmes auront peur, tant qu’on les tue ou qu’on les viole. Il ne faut rien lâcher. Je pense aussi à celles qui souffrent partout dans le monde., qui sont privées de leurs droits les plus élémentaires”, a-t-elle conclu.